3 questions à Alèxe, chargée de Recherche et Développement à Syprès. Étudiante en science politique, Alèxe est actuellement en thèse auprès de Syprès sur les politiques publiques de gestion de la mort en France. 

Qui es-tu, quel est -ton métier ?

Je m’appelle Alèxe Duvaut, je suis étudiante à Science po Bordeaux et j’ai commencé depuis peu une thèse avec Syprès sur le sujet de la mort et du rôle des pouvoirs publics. C’est ma première expérience dans le milieu funéraire et je découvre avec plaisir une équipe et un univers complètement différent de ce que j’imaginais. Étonnamment, il n’est pas question de funèbre, l’accueil et les valeurs sont positives et bienveillantes. 

Pourquoi es-tu impliqué dans Syprès et sous qu’elle forme ?

J’ai connu Syprès en postulant au poste de chargé de Recherche et Développement. J’ai tout de suite été curieuse et emballée par le projet et la mission de Syprès qui a avant tout une ambition sociale et collective. Je suis donc aujourd’hui en charge de la recherche et de l’innovation, et le développement du programme de recherche se nourrit des interconnexions et échanges avec les sociétaires, bénévoles etc, de la communauté Syprès en somme. Je m’occupe des projets en Ehpad, des projets ancrés sur les territoire, notamment sur la question des dernières volontés, ainsi que des LABs, tout en élaborant ma thèse au sein du laboratoire de recherche Émile Durkheim. 

Pourquoi est-ce intéressant pour toi de venir au LAB ?

Lorsqu’Olivier m’a demandé de prendre en main les LABs, j’étais tout de suite très motivée car c’est un projet vraiment collectif et absolument créatif. J’ai participé à celui autour du conte et j’ai pu observé que le LAB est un lieu d’expression et de partage avec des personnalités engagées et curieuses. C’est une source d’enrichissement aussi bien pour les participants que pour Syprès et c’est avec joie que je reprends le flambeau de cette belle démarche collaborative. 

Propos recueillis par Léa.